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Reconnaisse d’art rupestre québécois
- Titre
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Reconnaisse d’art rupestre québécois
- Créateur
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Gilles Tassé
- Langue
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frafra
- Description
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Contexte général (page 1)
Le projet, soutenu par le Ministère des Affaires culturelles et réalisé dans le cadre du Laboratoire d’Archéologie de l’UQAM, visait à identifier et documenter des sites d’art rupestre au Québec. Il a mis en lumière des défis logistiques comme les longues distances, l’inondation des sites et leur conservation.
Lac Daniel (page 1-2)
Aucune peinture rupestre n’a été trouvée. Les lichens colorés ont probablement été confondus avec des peintures par un témoin. L’inondation du site est jugée improbable.
Lac Nouvel et route de portage Manicouagan-Outardes (page 2-3)
Malgré des découvertes archéologiques intéressantes (hache française, vestiges de campements), aucune peinture rupestre n’a été identifiée. Les conditions naturelles et le manque de temps ont limité l’exploration.
Lac Wapizagonke (page 3-4)
Les peintures rupestres sont gravement détériorées par l’eau et le vandalisme. Certaines ont été volées ou sont tombées dans le lac. Des mesures de protection sont proposées, incluant la documentation, la sensibilisation du public et des visites guidées.
Lac Buies (Abitibi) (page 4)
Les peintures sont relativement bien conservées, malgré une oxydation naturelle. Le site est accessible uniquement par voie d’eau et présente un support rocheux différent (ardoise).
Conclusion et perspectives (page 4-5)
La protection des sites passe par l’éducation du public. De nouveaux sites pourraient être découverts grâce à des informateurs locaux. Les sites inondés nécessitent des techniques spéciales comme la plongée. - Format
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Texte
- Date de création
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1972
- Contributeur
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Recherches Autochtones
- Date de modification
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17-10-2025
- Droits d’accès
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Accès libre
- Licence
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Protégé par droit d'auteur
- Identifiant
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raq-texte-004
- Collections
- Fonds Recherches Autochtones au Québec
